Les examens pratiqués sur la carcasse de l'ours n'ont pas permis de déterminer les causes de la mort de l'animal.
Le 9 juin 2014, à Melles, la dépouille de l'ours Balou a été découverte dans un secteur dangereux, plaidant pour une mort suite à une mauvaise chute.
Les examens menés n'ont révélé ni la présence de projectiles, ni des traces de produits toxiques. Les radiographies n'ont pas non plus montré de fractures qui auraient pu être causées par une chute.
En clair, l'ours n'est pas mort suite à un tir par une arme, ni à cause de l'ingestion d’un poison et il n’a pas chuté violemment.
La détérioration naturelle du cadavre liée à une découverte tardive a limité les possibilités d’investigation.
La dépouille sera conservée au Muséum d’histoire naturelle de Toulouse.